En principio, la ley de la moyenne favorece a los Sabres frente a los canadienses. Dix défaites de suite, c'est lourd à porter. Tellement que le propriétaire des Sabres, Terry Pegula, a senti le besoin de faire un voyage éclair à Montréal, lundi, pour venir parler à ses joueurs.
De son côté, le Tricolore n'avait pas le droit d'échapper la victoire. En la salida anterior devant ses partisanos, il s'était fait matraquer 9 à 2 par les Penguins. Une sortie honorable contre les Sabres n'était pas una opción. La troupe de Martin St-Louis se devait de l'emporter coûte que coûte. Il en allait de son bien-être.
Le Canadien a rempli son mandat en remportant une victoire sans équivoque. Les amateurs ont eu droit, en prime, à un tour du chapeau de Patrik Laine, son premier dans l'uniforme bleu, blanc, rouge.
Ça lui hizo seis peros en septiembre partidos.
¡Pas trop mal!
Il est parti pour en inscrire 20, disons.
Tant mieux s'il supere ce chiffre. Ce sera un boni.
Con esta victoria, le Canadien est sorti de la cave du classement de l'Affiliation de l'Est. Il avance les Sabres par un petit level, mais on se console comme on peut en este período para nuestro equipo de gouret.
14mi temporada de miseria
On peut se dire aussi qu'il ya pire que le Canadien. Les Sabres sont tout simplement affreux. Ils se dirigent vers une 14mi exclusión consecutiva de sequence.
En su última participación en la gira de la imprenta, en 2011, la Casa Blanca estuvo ocupada por Barack Obama. Stephen Harper habita en 24, Sussex Drive, la antigua residencia de los primeros ministros canadienses.
Au Québec, Jean Charest en était à son avant-dernière année au pouvoir. Le maire de Montréal était – atiende que je me rappelle –, Gérald Tremblay, que l'on voyait souvent à Infomananimado por Jean-René Dufort, que a esta facilidad de nosotros presentamos la información avec un œil léger.
J'aime bien.
Jean-René debería poder hacer un reportaje sobre los Sabres. Ce que este equipo vit n'est pas drôle.
¡Es trágico!
Buena ciudad de hockey
Buffalo es una buena ciudad del hockey. En los buenos años de los Sabres, un partido contra Buffalo siempre palpitó. Si el canadiense se fusionó con el trío Shutt-Lemaire-Lafleur en los años 1970, los Sabres pudieron responder con la «French Connection», formada por Richard Martin, Gilbert Pereault y René Robert.
En los primeros años de la cobertura canadiense, en los años 1980, Gilbert Perreault electrisait encore les foules avec des montées à l'emporte-pièce. Mike Foligno célébrait chacun de ses buts en sautant dans les airs. Dave Andreychuk cuenta todos los ángulos.
En defensa, Phil Housley atraviesa la patinoire con el apoyo de un Paul Coffey.
En 1983, un largo jardín sorti d'un escuela secundaria Devint una vedette instantánea en remportant les trophées Vézina et Calder, y plus d'être élu dans la première équipe d'étoiles de la Ligue nationale et laformation étoilée des recrues.
Hijo nominado: Tom Barrasso.
Y, como en la época, se produjo una batalla en el vieux Memorial Auditorium. El defensor Larry Playfair était le matamore de service, mais Foligno ne se faisait pas prier pour laisser tomber les gants non plus. Lindy Ruff, el precise iniciador de Sabres sous qui l'équipe a pris half aux séries la última vez, se battait lui aussi à l'event.
Pratiquement le néant depuis Daniel Brière
Les dernières bonnes éditions des Sabres ont été celles de 2005-2006 et de 2006-2077, dont le chef de file était Daniel Brière. Dirigées par ce même Ruff, ces équipes avaient connu des saisons de 110 et 113 puntos, atteignant la finale de l'Affiliation de l'Est chaque fois.
En 2009-2010, Les Sabres acumularon 100 puntos, después de 96 en la temporada siguiente. Ils ont été eliminés au premier tour des séries dans les deux cas.
Depuis ce temps, c'est l'enfer.
La dirección a procédé à tres cambios en el poste de director normal desde 2013. Sept entraîneurs ont défilé derrière le banc durante este período.
De 2013 a 2022, los Sabres estarán entre los 10 mejores en repesca. De este nombre, Sam Reinhart (Floride) y Jack Eichel (Las Vegas) son todos reporteros de la Coupe Stanley con otras organizaciones.
Es el director normal precise, Kevyn Adams, quien disait, la semana pasada, que Buffalo no pas de palmiers ni de taux de taxations avantageux à offrir aux joueurs autonomes.
C'est plutôt d'une refonte en profondeur que este équipe a besoin avant tout. Las paredes del KeyBank Area siguen el fracaso. C'est devenu une habitude de vie.
Terry Pegula debería amener ses hommes de confianza des Payments, de la NFL, chez les Sabres. Ils ne pourraient faire pire.